Textes et positions 2020-2021
Jacques FAIVRE A propos du port du masque et de la vaccination dans nos dojos (École européenne d'aïkido traditionnel - Dojos 54) - Juin 2021
La question du port du masque et de la vaccination mérite d’être posée dans la pratique de notre art martial au sein de nos dojos.
Tout d’abord, le port du masque est-il conseillé voire exigé pendant notre pratique ?
Nous répondrons que, non seulement il n’est ni conseillé et encore moins exigé, mais il n’est tout simplement pas autorisé.
Et c’est justement parce que le masque représente plusieurs dangers pour nos pratiquants que nous ne l’autorisons pas dans nos dojos.
Principalement, le masque, tel qu’il est conçu et porté aujourd’hui, constitue une protection totalement illusoire contre les virus ; on peut d’ailleurs lire en toute lettre sur les conditionnements des fabricants que ces masques ne protègent pas contre les coronavirus.
Plus grave encore, la faune bactérienne et tous les micro-organismes contenus dans la bouche (dont les eventuels corona virus), qui sont normalement dispersés par le phénomène de respiration, se trouvent concentrés dans un environnement saturé en CO2, propice à leurs développements. Il est bien illusoire de penser qu’ainsi, on ne projettera pas de particules contaminantes, rien qu’en les enfermant.
Plus préoccupant, quand on sait avec certitude que les contaminations sont essentiellement manu-portées, c’est à dire propagées par les mains et les contacts, plutôt qu’aériennes (la dispersion des virus dans l’air, surtout dans un milieu correctement ventilé, ne se fait pas avec une concentration telle que ces derniers reprèsentent un risque de morbidité significatif)...
Or, toutes les personnes qui ont porté un masque savent combien ce dernier représente une gêne, engendrant des manipulations fréquentes pour le réajuster, pour se gratter ... la contamination des mains par une concentration importante de virus, se réalise ainsi au détriment de la « protection » dont on croit bénéficier. Et lorsqu’on dit je porte un masque pour protéger les autres, on réalise tout simplement l’inverse en touchant des surfaces immédiatement après avoir touché son masque. Et ceci sans parler des changements improbables de masques toutes les 2/4h selon activité et températures extérieures ...
Le masque représente une protection illusoire qui, dans la réalité, accentue les risques de contamination. Et ceci sans parler du fait qu’il entraine une hypo oxygénation dont les conséquences sanitaires mériteraient d’être honnêtement analysées par des médecins dignes de ce nom.
Ceci dit, sans vouloir rentrer dans une polémique sur la justesse des arguments développés ici, appliquons le principe de précaution, qui veut que lorsqu’il existe un doute sur l’efficacité d’un produit touchant notamment à la sécurité des personnes, on doit suspendre son utilisation et trouver une alternative raisonnable pour cette même protection.
Nous nous en remettons ainsi au bon sens qui avait cours avant cet emballement médiatico-sanitaire ; lorsqu’un de nos pratiquant présente des symptômes (tels que nous les avons décrits dans notre protocole sanitaire) laissant penser à une atteinte virale (de la fièvre ,une toux inhabituelle,une fatigue inhabituelle,un essoufflement inhabituel quand je parle ou quand je fais un petit effort,des douleurs musculaires et/ou des courbatures inhabituelles,des maux de tête inexpliqués, une perte de goût ou d’odorat,des diarrhées inhabituelles...), il ne vient pas au dojo et ne peut revenir que lorsqu’il présente à son professeur toutes les garanties sanitaires nécessaires (cf protocole).
Le port du masque pourrait inciter une personne, présentant de faibles symptômes à venir quand même pratiquer, en se sentant protégé et protégeant. Dans notre cas, pas de tolérance ni d’exception au prétexte d’un masque : quand on a des symptômes, on en informe le professeur du dojo et on reste chez soi. Nous croyons au sens des responsabilités de nos élèves ; par contre, nous ne voulons pas qu’en toute bonne foi, un de nos pratiquants légérement symptomatique, vienne pratiquer en pensant protéger ses collègues avec un système défaillant.
Il en est de même pour la vaccination. Alors qu’une campagne médiatique sans précédent, laisse penser à toute les personnes, qu’avec le vaccin, elles vont pouvoir « revivre normalement comme avant », on sait manifestement qu’il n’en est rien et qu’elles peuvent toujours être contaminées et contaminantes d’où le maintien, apparemment contradictoire, des gestes barrières et des protocoles sanitaires encore en vigueur.
Le fait d’être vacciné peut induire des comportements à risque et nous ne tiendrons pas compte de ce « passeport » vers une vie « normale » ; au contraire, conformément au principe de précaution, nous demanderons à nos élèves, qu’ils soient vaccinés ou pas, de signaler obligatoirement tous symptômes évoquant une atteinte morbide et prendrons, sans concession, les mesures d’éloignement temporaire du dojo.
Pareillement, l'obtention d'un test négatif peut induire des comportements à risque ; les tests de dépistage, quelqu'ils soient, sont trés loin d'être fiables à 100%. Ainsi, l'apparition d'un symtôme qui devrait normalement alerter, pourra être minimisé voire ignoré, le test revetant une dimension rassurante à laquelle on se référera. Seule la prise en compte des symptômes permet d'éviter au mieux les contaminations (et pas seulement du covid mais de toutes les maladies contagieuses). Qu'on soit Vaccinés, non vacciné , testé négatif ... il ne faut pas présenter de symptômes morbides avant ou au moment de se rendre au dojo.
L’été est là et les virus d’hiver s’en vont vers des latitudes plus propices ; c’est ce que nous constatons aujourd’hui. Mais comme tous les ans, depuis que le monde est monde, les virus reviennent avec le retour des frimas. Certains étant plus nocifs, notamment pour les populations qui ne disposent pas de défenses immunitaires solides ou qui n’ont pas pu bénéficier de traitements renforçant leurs défenses.
L’affaire des coronavirus n’est pas terminée et elle ne l’a jamais été ; nous vivons des périodes de proliférations virales depuis des millénaires et si l’humanité est toujours là aujourd’hui, c’est qu’elle a su vivre avec son environnement et avec des défenses immunitaires naturellement acquises. Il est probable qu’un contexte de pollution environnementale, de mal bouffe, de sedentarité, de conditions de vie stressantes où la peur intoxique les organismes, où le sommeil est moins réparateur ... etc, ne favorise pas des défenses efficaces et rendent parfois dangereux des micro-organismes ordinairement inoffensifs.
Pour conclure, fidèles aux principes qui régissent la pratique des arts martiaux et notamment l’aïkido, nous travaillons avec des personnes adultes, responsables et conscientes, instruites de leurs droits et de leur devoirs au sein de nos dojos ; nous excluons toute manipulation infantilisante, quelle que soit sa motivation, qui contrevient inévitablement aux libertés individuelles et conduit aux inexcusables dictatures.
Jacques FAIVRE septembre 2021 - POINT DE VUE SUR L'ACTUALITE
" Une loi scélérate profite d’un évenement marquant pour porter atteinte aux libertés fondamentales : en 1893/1894, un attentat anarchiste à servi de prétexte pour faire adopter des lois liberticides qui touchaient notamment à la liberté d’expression).
La loi qui impose l’extension du pass sanitaire aux activités du quotidien et l’obligation vaccinales aux professions exposées, notamment soignantes, est clairement une loi scélérate.
Le prétexte sanitaire, qui mériterait d’ailleurs d’être fondé par des faits patents, ne saurait en aucun cas justifier un régime de discrimination comparable à un apartheid, question de proportionnalité.
Vouloir faire admettre par la force publique , que le vaccin est la seule manière de faire face à la Covid, est un véritable abus de pouvoir digne de responsables dont les intérêts sont manifestement autres que l’intérêt des populations de France.
Il s’agit d’un véritable chantage visant à obtenir un consentement, autrement dit, une extorsion caractérisée.
La promesse d’un retour à une vie normale grâce au vaccin est quotidennement démentie par les faits ; les pays les plus vaccinés comme Israel, sont aujourd’hui confrontés à une recrudescence de cas graves et d’hospitalisations qui touchent les populations vaccinées ... Il serait plus raisonnable de replacer le vaccin parmi un ensemble de mesures sanitaires intervenant avant (prophylaxie, hygiène de vie, renforcements de l'immunité naturelle) ou dès les premiers symptômes (traitements administrés par de nombreux médecins dans de nombreux pays hors la France); un vaccin éprouvé et moins sujet à question trouverait alors toute sa place dans la pharmacopée et susciterait moins de rejet.
Sous la contrainte, nos dojos respectent les obligations légales relatives aux établissements recevant du public .Mais nous sommes aussi en mesure de proposer à nos élèves des solutions fonctionnelles, en cercle privé réservé, leur permettant de pratiquer selon des règles sanitaires crédibles et dans le respect des règles en vigueur dans nos dojos .(voir article ci-dessous);
Nos règles sanitaires sont plus rigoureuses que celles prétendument protectrices du pass sanitaire ; elles reposent sur le bon sens et la responsabilité de nos adhérents. Ainsi, que ceux-ci soient vaccinés, non vaccinés ou détenteurs d'un test négatif depuis moins de 3 jours, ils s'engagent à signaler tout symptôme évoquant le COVID et à ne pas se rendre aux dojos pendant au moins 8 jours et jusqu'à disparition complètes des symptômes. Pour illustrer ce propos, nous avons l'exemple d'un de nos élèves vacciné qui présentait les signes d'une angine ; après avoir réalisé un test, il s'avérait négatif au COVID bénéficiant ainsi d'un pass sanitaire l'autorisant à venir pratiquer. Après nous avoir informé, il s'est volontier plié à notre règle de ne pas venir aux dojos pendant au moins 8 jours. On sait combien les tests sont trés loin d'être fiables à 100%. Conscient des limites des tests et des vaccins, nous nous en remettons au sens des responsabilités de nos pratiquants, comme cela à toujours été le cas par le passé.
Nous vous invitons à nous contacter pour toute information à ce sujet.."
Jacques FAIVRE - MAI 2020
" Dans cette période sans précédent où nous voyons une majorité de médias et certains organismes officiels diffuser des informations tronquées, incohérentes voire manifestement déformées, s'ingénier à distiller des peurs irrationnelles pour générer des comportements d'obéissance aveugle, à l'opposé de nos valeurs de liberté éclairées par une compréhension lucide des situations , nous reprenons nos activités normalement ; nous sommes encore plus motivés pour proposer une pratique qui renforce nos capacités immunitaires et surtout, qui combat cette campagne de terreur inique qui asservi les populations et contribue à affaiblir leurs défenses immunitaires.
Nous avons établi un protocole sanitaire, fondé sur les règles qui prévalent encore dans un état de droit . Nous refusons notamment de nous soumettre à toute demande illicite de dénonciation de cas suspects voire à communiquer des informations confidentielles relatives à nos pratiquants, conformément au réglement général de protection des données des pays européens (voir protocole de reprise des activités)
Maître TAMURA disait souvent qu'une des finalités de l'aïkido était de rendre les hommes libres ; nous tenons fermement au respect de nos libertés, acquises au prix du sang par nos anciens. Et si d'aventure, certains voulaient profiter de leur prérogatives ou de leur position dominante pour nous imposer des règles qui viendraient en contravention avec notre état de droit, ils auraient à se justifier devant les instances en charge de la protection des libertés encore en vigueur dans notre pays."
Formulaire d'engagement sanitaire à télécharger ici Engagement-sanitaire_67.pdf
Nouveaux articles info-COVID :
Vaccination obligatoire et état de droit Pourquoi-la-vaccination-obligatoire-anti-covid-viole-l-etat-de-droit_64.pdf
Les chiffres de la "pandémie" en rapport avec la vaccination Vaccination-et-evolution-des-epidemies-COVID-dans-le-monde_61.pdf
Voir protocole de reprise en rapport avec l'évolution des décisions gouvernementales